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Boussada Ali Omar Ngourti

eric

Fils d’un instituteur libyen francophone ayant servi au Niger, Boussada Ali Omar ( connu aussi sous le nom de Boussada Ben Ali ) est né le 29 juillet 1972 à Ngourti. Après l’obtention de son baccalauréat série A4 , il entreprend d’abord des études de philosophie à l’université de Niamey mais sa passion du journalisme le pousse à partir de l’année de DUEL à s’inscrire à l’institut de formation aux techniques de l’information et de la communication ( IFTIC supérieur ) où il décroche son diplôme supérieur de journalisme en soutenant un mémoire sur « la place des médias audiovisuels dans la politique de coopération de la France au Niger » ( avec les conseils de Laurent Bigot alors conseiller de presse en poste à Niamey )

Après plusieurs stages de perfectionnement il fonde le 8 janvier 2003 le journal ‘ l’ACTION ‘ dont il fut le directeur de publication. En 2007 , suite à la publication dans l’ACTION d’articles mettant en cause Kadhafi, l’ancien dirigeant libyen il fait l’objet de poursuites judiciaires .

En 2011, dès le déclenchement de la Révolution libyenne du 17 février, Boussada prend très vite attache avec le CNT et participe par sa plume à la Révolution.

En 2012, il rentre en Libye et s’installe à Sebha en famille où il se consacre à la sensibilisation et la mise à place des structures de la société civile et au processus des élections législatives et municipales ainsi que l’élection de l’assemblée constituante. Face à la persistance des conflits interethniques dans la capitale du Fezzan Sebha., il s’implique activement dans la médiation locale en mettant à profit ses relations et son carnet d’adresse dans les pays voisins de la Libye notamment le Niger, le Tchad et la Tunisie.
Plus jeune au lycée il avait été meneur de grèves et à fait l’objet de plusieurs interpellations par le pouvoir pour ses prises de position et son engagement militant.

Autres expériences sur le terrain

En 2001 il participe à une étude sur «  la dynamique des pouvoirs locaux à Ngourti  » sous la direction du professeur Jean Pierre olivier de sardan pour le compte du LASDEL ( laboratoire d’études et recherches sur la dynamique sociale des pouvoirs locaux. ) avec l’appui du service de coopération d’action culturelle (France ).

En 2003 il participe à une étude sur «  le lectorat de presse au Niger » sous la direction de Marie Françoise Roy pour le compte de l’association française Contrechamps avec l’appui de la Fondation Alexandre Varenne.